FAUDRA BIEN QUITTER UBUD

Je commence par réitérer mon soutien à la grève des étudiants, bien que ce soit facile de dire ça comme ça, d'ici. Mais mon coeur y est. 2 petits carrés rouges de la Villa Serenity, face à la bêtise de la ministre, avec qui je partage malheureusement un prénom.

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Les activités précédentes ont eu lieu durant notre séjour de 13 jours à Ubud. J'ai plein de choses à dire sur Ubud mais peu de temps cette semaine, ayant recommencé un nouveau cours lundi matin. Terminés les 6 jours de vacances. Je serai brève mais j'y reviendrai.

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UBUD / Gîte 1.



Pas l'air content. Mais pour la photo il avait fait signe que c'était ok. Pratique le langage signé.

Les travaux de constructions de jour (impressionantes structures de bambou), aboiements de chiens en cavale, coqs en écho et imprimantes en sourdine, ont eu raison de notre sommeil, au premier gîte, malgré la jolie cour (3-4 h am chaque nuit).


Selamat tingaal (au revoir)

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UBUD / Gîte 2.


On déménage. On tiendra ensuite 8 jours, malgré les pratiques quotidiennes et matinales de spectacles balinais (7 h am) du second (là où vous voyez un toit rouge, une salle des fêtes ou salle communautaire.) Parce que Kadek nous promettait que -tomorrow finish... et parce que la vue de jour, comme bureau de travail, était à la fois sublime et inspirante.


Nous quittons donc ce second losmen, wisma, B&B (ou -Guest House- comme ils l'indiquent, Dana sari) de Ubud, et surtout, mon ami Boo. Le seul chien parlable de tout Ubud, ou plutôt, de tout Bali. Nous passerons notre dernière nuit ci-bas. Moins cher en plus.
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UBUD / Gîte 3.

On n'y restera qu'une nuit, avant notre départ. Mais c'était joli et surtout... tranquille.
2 étages, pas qu'on en avait besoin ou qu'on le souhaitait, mais c'est tout ce qui restait.


Le salon extérieur ou terrasse. Entouré de poisson (Y'en avait un mort, ça a pris 3 personnes avant que qq réagisse.)

J'en profite donc pour laver et faire sécher quelques vieux sacs de riz.
On a aussi vu plein de poches de... pesticides..
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CANGGU / Gîte 4. / VILLA SERENITY


Bali Coffee matinal devant la salle de massages de notre nouvelle demeure. À la villa Serenity.

Notre salon partagé. On y est en ce moment pour vous écrire.

On a le choix.

Y'a tout ce qu'il faut.

Notre chambre d'amoureux. La plus ronde, jolie, voluptueuse.

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On a pu découvrir plein de choses à Ubud (que nous vous raconterons plus longuement, en vrai). Nous venons d'arriver dans notre nouvelle hutte, pour la fin de notre voyage à Bali. À la villa Serenity, (top organic and eco-friendly ça disait quand André l'a choisie et visitée pour nous), notre chambre est ronde, en bambou et s'appelle LOVE. On dirait qu'ils l'ont conçue pour nous :-) Nous avons des voisins en OM et un autre dans la chambre FREEDOM.

Le toit est ouvert sur l'extérieur, on verra comment ça se passe côté moustiques, mais on a un filet. Ici, les gens sourient moins qu'à Ubud. Autrement, à Bali en général, tout le monde dit bonjour, sourit et est super accueillant. Niveau de pauvreté, sourire généreux et bonheur ne sont pas antinomiques par ici.
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ON REVIENT À CANGGU POUR PASSER QUELQUES JOURS AVEC PASCAL

La classe. On le croirait sorti tout droit d'Easy Rider. Ou un autre bon titre : l'amour est aveugle.


Pascal est de retour de Jakarta pour un weekend (une fin de semaine quoi. Nous aurons quelques discussions linguistiques intéressantes par ailleurs.) On les rejoint. On fait des carnets de croquis de voyages depuis toujours avec nos enfants. Mais bon, les cahiers de croquis de Pascal sont souvent plus jolis pour ne pas dire fabuleux, alors j'en mets 2 et son blog.

Soir de retrouvailles. On a rendez-vous au Potatoe Head.
Un bar et bord de mer occidentalisé, qui se la pète avec de jolis volets recyclés, des courbes, qu'on peut qualifier -d'architecturales- ou de féminines et en minikinis, des drinks à des prix pas revisités pantoute, ou sinon à l'Euro. On apprécie les volets et de retrouver nos amis surtout, mais rien du reste.

Même la nature reprend trop sagement ses droits dans les univers rigides...frigides.
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Même weekend

Zone sacrée. Un peu comme les Allusifs :-)

Ce sera notre seule journée de plage.
Irra a le chic pour dégoter et nous présenter certains charmes préservés de cette île.

Je crois qu'on a trouvé la plage secrète de Karim.

Je prends Irra en photo, qui prend...

Pascal. Enfin, j'imagine.

Ou lui?
Ce n'est ni Pascal, ni André (Ouf! encore heureux...on le connais pas. )
Mais en voyant ce bombé du torse, je me questionnais, de l'homme ou du roc, qui prétend défier l'océan?


Et pitou lui, humble devant les éléments.


Puis, un arrêt par ici.


Un souper par là...
André a l'air de faire la gueule en attendant sa bière, mais c'est le poisson qui l'intéresse.


Et un karaoké pour conclure !
Irra (ou serait-ce Pascal?) a envie de se défouler et s'est déchaînée en nous traînant au Karaoké. J'ai eu une enième pensée pour mon amie Nathalie, la seule autre -partante- de Karaoké que je connaisse. Finalement, je sais que j'hais vraiment ça. Que ne ferait-on pour faire plaisir aux amis quand ce choix n'a qu'un mal de bloc comme conséquence désastreuse. Mais chanter en indonésien...vous imaginez-tutu?


Vous remarquerez, au moins, qu'on boit de l'eau (embouteillée).
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Et une sorte de cène (ou -last call-) pour André et Pascal.

Irra s'était surpassée, en vraie chef d'orchestre, pour nous faire plaisir.


Et oui. On a joué au Scrabble en balinais comme vous voyez. J'ai un peu perdu, Irra a pas mal gagné, André a beaucoup triché et Pascal a surtout mangé. Il faut dire qu'on avait tous un peu bu.


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Un Français qui vit à Bali, il faut croire que ça se -tanne- par moment des plats balinais. Qu'il se lasse du vin, ça se comprend. C'est pas très bon et ça coûte 2 bras (on a quand même choisi d'adopter le local par principe...) Pascal a honoré notre dernier repas en partageant avec nous un Pommard reçu en cadeau... Terimakasi (=mucho merci). On était un peu gênés, mais on ne s'est finalement pas fait trop prier pour l'accompagner. On a laissé notre piété aux cours d'offrandes et maintenant, on va devoir laisser une partie de nos amitiés à Bali.
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