dimanche 15 avril 2012

LA FORÊT DES MACAQUES

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Après une semaine de laborieux travail face au cadre majestueux du billet précédent, (malheureusement passée à l'ordi), j'ai enfin terminé mon 5e cours lundi matin dernier (Ethics, Worldviews and the Envrionment), et profité du premier de mes 6 jours de congé, à UBUD, avant le cours suivant (qui commence ce lundi matin.)
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Des sculptures dignes de Crumb, partout dans la forêt sacrée.


Une rivière pour la baignade des macaques.


Hey-hey, regarde maman, il a les mêmes oreilles que moi.


-Maman tu veux leur dire d'arrêter de nous regarder ?


-Je m'emmerde.


Le gros est parti...miam, j'ai faim. Tu en veux?


Un plus jeune qui a réussi à se trouver une patate douce lui aussi.


Ha oui par là, ça gratte, encore un peu.


Selamat sore cousine, moi c'est Kiki.


-C'est un peu le red light ici, mon chéri, en green.

(Celle-ci avait un handicap à une main et se la coulait douce.)
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FORÊT SACRÉE DES SINGES

On le sait, 98.5% d'ADN avec le chimpanzé dit la science (Libé) (ou 96.4% Orang outang disait un T-shirt). Je me sens pareille, en version macaque, voire, 99%. Je suis un peu moins poilue, un peu plus habillée, un peu plus pudique j'imagine et j'ai un appareil photo.

Le constater de si près nous questionne d'autant plus sur nos agissements. Ici au moins, ils sont sacrés, bien qu'il y ait beaucoup trop de touristes, venus comme nous, déranger leur intimité (ce qui à première vue ne semblait pas trop les gêner, me rappelle André.)
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L'antropomorphisme fonctionne à fond avec moi.
«J' t'aime mon p'tit macakou» lui dit-elle.

«Non, maman j'ai peur, le voilà encore, il arrive...»

La plupart d'entre nous avons aussi heureusement cette différence envers nos plus jeunes...
Nous avons vu plusieurs mères se regrouper et s'enfuir en bande pour protéger leurs petits, à l'arrivée des gros mâles en rut.
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